Accéder au contenu principal
Image par ©Alain Farrugia - IA retravaillée graphiquement

SUISSE - L’AGONIE TRANQUILLE D’UN PAYS QUI FUIT…. ET QUE L’ON FUIT


Depuis le début de l’année, plus de 68’000 Suisses ont plié bagage. Un chiffre record, révèle Blick, qui résonne comme un constat d’échec collectif. La fameuse « qualité de vie suisse » s’effrite, rongée par la bureaucratie, l’idéologie des Talibans-Verdâtres, de leurs complices de la bourgeoisie gauche-caviar-bobo et une apathie politique devenue doctrine d’État.

QUAND LA NEUTRALITÉ DEVIENT INERTIE, ET LA PROSPÉRITÉ, ANESTHÉSIE.

Le « paradis helvétique » s’effondre doucement… dans un silence feutré, presque poli, à la suisse.

En fin d’article vous trouverez différents tableaux, issus de l’Office Fédéral de la Statistique, qui vous permettrons de savoir qui sont nos compatriotes de la 5ème Suisse, celle où nos belles anciennes valeurs, qui sont désormais mortes en Suisse, sont encore bien présentes.

Et maintenant analysons les principales causes de l’exode !

DES VILLES MASSACRÉES PAR L’INTÉGRISME VERT ET LE DOGME GAUCHISTE

Nos villes, autrefois joyaux de propreté et de sérénité, sont désormais des musées de la contrainte écologique. Chaque trottoir, chaque piste cyclable, chaque place de parking supprimée porte la marque d’un intégrisme verdâtre imposé d’en haut.

Le citoyen n’y trouve plus ni confort ni liberté : seulement une succession d’interdictions, de taxes carbone, de circulations infernales et de logements devenus inabordables.

Le rêve écolo s’est transformé en cauchemar urbain : une utopie verte qui étouffe la vie.

Les centres-villes se vident, les commerces meurent, et les habitants, eux, fuient, certes pour chercher le soleil, mais surtout pour retrouver un peu d’air…. Et un avenir !

L’INSÉCURITÉ DEVENUE NORME

Pendant que la morale officielle prêche la tolérance, la rue, elle, se charge de la réalité : agressions, cambriolages, trafics.

Les autorités parlent de « sentiment d’insécurité », expression magique qui permet de nier les faits sans les affronter. Les quartiers populaires deviennent des zones grises, les dealers s’y installent tranquillement, et la police, bridée par des règlements absurdes, regarde passer la misère.

Le citoyen honnête vit dans la crainte, pendant que le petit voyou se pavane avec l’assurance tranquille de celui qui sait qu’il ne risque rien.

LES FAUX RÉFUGIÉS, VRAIS TRAFIQUANTS : LA SUISSE EN SPONSOR INVOLONTAIRE DU CRIME ORGANISÉ

Sous couvert d’humanisme, la Suisse a ouvert ses bras… et son portefeuille. Mais parmi ceux qui fuient soi-disant la guerre ou la misère, une frange bien connue de faux réfugiés s’est installée avec un tout autre projet : importer le business du deal et profiter d’un système social plus accueillant qu’un distributeur automatique de cash.

Ces faux demandeurs d’asile sont devenus les champions du double jeu : victimes administratives le jour, trafiquants nocturnes le soir. Pendant que la police fait semblant d’avoir les mains liées, ces délinquants sous protection multiplient les infractions avec une sérénité déconcertante, ils savent que la justice locale est d’une douceur maternelle, et que l’expulsion est devenue un mythe administratif.

Les services sociaux, quant à eux, continuent de traiter ces cas avec une ferveur quasi religieuse : logement subventionné, assistance juridique, allocations, bref, l’arsenal complet de la compassion automatique. Certains employés, plus militants que fonctionnaires, ont même transformé la délinquance importée en business model social : plus de cas, plus de budgets, plus de postes.

Résultat : la Suisse, jadis modèle de rigueur, finance sans le vouloir ses propres zones de non-droit, pendant que les citoyens honnêtes se débattent avec la vie chère, les impôts et des franchises médicales dignes d’un roman d’horreur.

Et dans ce grand théâtre de l’absurde, on en vient presque à se demander si le prochain apprentissage fédéral ne sera pas celui de « dealer assermenté », après tout, c’est un métier d’avenir, vu le niveau de protection dont il bénéficie.

JUSTICE À GENOUX DEVANT LE CRIME, MAIS LE PORTEFEUILLE BIEN DRESSÉ

La justice suisse ne rend plus la justice : elle la facture.

Son moteur n’est plus la recherche du vrai, mais la taxation des procédures. Chaque dossier devient une rente, chaque procès un guichet. Les délais s’allongent, les frais explosent, et la victime se retrouve à financer son propre calvaire.

Le ministère public rempli sa seule fonction : Punir tout le monde, rechercher toutes les infractions qui génèreront le plus de frais de procédure et d’amendes. Aucune recherche de la réalité des faits ou d’une éventuelle légitime défense, circonstances atténuantes, etc…

On inculpe !! De toute manière c’est du fric qui va tomber… La vérité ? On ne veut pas la connaître !

Et la présomption d’innocence en Suisse ? Mais oui elle n’existe… Mais QUE pour les criminels, les victimes, elles, devront prouver leur innocence, les avocats commis d’office pour les criminels, qui bénéficieront de toutes les aides judiciaires, auront toute liberté de calomnier outrageusement les victimes et de produire des éléments de preuves falsifiés, aucun problème, les magistrats les en féliciteront dans leur verdict.

Les victimes sont harcelées, soupçonnées, découragées, pendant que les criminels profitent d’un système procédural si lent et favorable qu’il en devient complice.

Plus le délinquant est cynique, plus on le traite avec délicatesse. Les juges brandissent la « dignité humaine » des coupables comme un bouclier moral, tout en broyant celle des victimes sous les tampons et les factures.

En Suisse, la justice ne défend plus la loi, elle défend sa caisse et ses complices, les criminels !

LE COÛT DE LA VIE : RECORD MONDIAL, QUALITÉ EN CHUTE LIBRE

On nous vend le pays comme un havre de stabilité et de confort. Mais derrière la vitrine : prix délirants, salaires étouffés, qualité en déclin.

L’alimentation, l’énergie, le logement, tout flambe, pendant que la promesse du “Swiss made” se délite sous les compromis de la mondialisation.

La Suisse est depuis très longtemps le pays le plus cher du monde… Mais pour une qualité qui se dégrade dramatiquement. Les citoyens paient pour un luxe disparu, entretenu par un storytelling d’État et la nostalgie d’une prospérité qui n’existe plus.

DES DIRIGEANTS HORS-SOL : ÉLUS PAR PERSONNE, PAYÉS PAR TOUT LE MONDE

Ah, nos conseillers fédéraux : ces gardiens autoproclamés de la rigueur helvétique. Ils appellent à la « sobriété » budgétaire du haut de leurs bureaux capitonnés, tout en percevant des rémunérations que peu d’entreprises privées offriraient à des dirigeants sans résultats tangibles.

Avec un salaire annuel dépassant largement les CHF 477'688.- plus tous les avantages et CHF 30'000.- de frais non imposables, une retraite garantie à vie après un unique mandat, de 4 ans (CHF 230'000.-/an) chauffeurs, frais, secrétariats, logements de fonction et jetons de présence, la vie de « serviteur de l’État » a un certain goût de palace. Et lorsque vient l’heure de « quitter le service public », pas de panique : une place bien au chaud les attend souvent dans quelque conseil d’administration d’assurance ou de monopole, pour une « modeste » rémunération de (environ) CHF 180’000/200’000.- , voir plus….

Il faut bien, tout de même, maintenir le train de vie à un demi-million par an… les pauvres.

Pendant ce temps, la population rame, les PME croulent sous les charges et les jeunes diplômés rament pour un premier emploi à 4’500 balles. Mais au sommet, rien ne bouge : le confort est la seule constante du pouvoir.

TECHNOCRATIE KAFKAÏENNE : LE LABYRINTHE ADMINISTRATIF COMME MODÈLE ÉCONOMIQUE

Faire avancer quoi que ce soit comme projet dans ce pays relève de l’épopée mythologique.

Chaque démarche est un parcours du combattant : formulaires, timbres, signatures, expertises, retours d’expertises, allers-retours durant des années.

Les délais s’étirent comme du chewing-gum administratif, les fonctionnaires se renvoient la balle, et l’innovation crève étranglée par la paperasse.

La bureaucratie helvétique est devenue une religion. Et ses fidèles, des scribes persuadés que cocher des cases, c’est gouverner.

Et quand vous croyez commencer à voir le bout du tunnel administratif, arrivent les oppositions… qui peuvent durer des décennies…

LE MIRAGE DE L’EMPLOI - ET LE GOUFFRE QUI ATTEND LES TRAVAILLEURS

L’article de Blick sur l’émigration record de la Suisse n’est pas juste une statistique froide. C’est le symptôme d’un pays en panne d’avenir et pour ceux qui travaillent encore, c’est un enfer silencieux., car en surface, tout semble parfait : chômage au plus bas, économie “solide”, innovation à tous les étages. Mais sous le vernis helvétique, ça sent le roussi et le café réchauffé du job center.

SALAIRES QUI STAGNENT… VOIRE DÉCROISSENT

Les salaires, eux, fondent comme la neige au Tessin. Les loyers flambent, la facture d’assurance maladie donne le vertige, et beaucoup de travailleurs font désormais partie d’une nouvelle espèce : le “pauvre employé en CDI”.

Les “seniors” de 45 ans sont désormais considérés comme des fossiles numériques, priés de dégager pour laisser place à des stagiaires multi-tâches payés en « sandwichs SNCF ».

Et pendant qu’on nous chante les louanges de la “reconversion digitale”, l’IA remplace joyeusement les graphistes, comptables et le fameux « c’était mieux avant, mais maintenant tant pis pour toi », devient la norme.

FORMATIONS MANQUANTES - INADAPTATION ORGANISÉE

Le marché exige des compétences nouvelles : IA, data, numérisation, green tech. Et que propose-t-on aux chômeurs ou en reconversion ? Des modules génériques, des stages d’assimilation, quelques cours de bureautique.

Rien pour rattraper le retard, par exemple la médecine, ce qui fera bientôt de la Suisse un désert médical, on conserve un « numerus clausus » pour les étudiants… Le comble de l’inadaptativité… Ce qui forcent les plus courageux à partir faire leurs études à l’étranger.

Les formations ? Obsolètes avant même d’être terminées. Et les formations vraiment poussées coûtent, sont noyées dans le délai administratif ou ne sont accessibles qu’aux jeunes ou aux moins nantis. Résultat : la fracture numérique des compétences s’élargit, tandis que les métiers d’hier deviennent des niches mortes.

LES SÉNIORS BANNIS AVANT L’ÂGE

À partir de 45 ans, l’auto-étiquette « trop vieux » est trop souvent collée au front par les recruteurs.

Les 50-64 ans, même s’ils affichent un taux de chômage inférieur à certains groupes, prennent en moyenne 7,9 mois à retrouver un travail, contre 5,8 mois pour les 25-49 ans. (Schweizerischer Arbeitgeberverband)

Les entreprises regardent le vieillement (cotisations LPP plus élevées, peur du départ rapide à la retraite) comme un coût, non comme une richesse d’expérience.

Donc tu as trente années de dur labeur derrière toi, mais un mur invisible devant toi : adieu les offres intéressantes, bonjour petits boulots précaires (au mieux) mais plutôt le chômage de longue durée, avant la chute dans la grande précarité dont on ne sort jamais en Suisse.

Parlons-en du chômage, les chiffres officiels tiennent du miracle comptable : on radie, on “réoriente”, on fait disparaître les indésirables des statistiques. Des milliers de personnes sortent du système et finissent à l’Hospice général, invisibles et épuisées.

Mais chuuut… officiellement, tout va bien !

Et pendant que les entreprises délocalisent à tour de bras, la main sur le cœur et le logo vert sur la porte, la Suisse s’enfonce doucement dans une schizophrénie économique : un pays riche qui fabrique sa propre précarité, à la chaîne, avec le sourire.

DÉLOCALISATIONS & COMPTABILITÉ HUMAINE

Entre 2000 et aujourd’hui, des pans entiers de l’industrie suisse, des services et des divisions informatiques ont été déplacés vers des pays à moindre coût. Le bénéfice ? Plus de marge pour l’actionnaire. La conséquence ? Civilisations industrielles affaiblies, emplois à l’os.

Celui qui perd sa place n’est pas “chômeur comptabilisé” : il est bon pour l’Hospice général. Parce que c’est plus simple pour les statistiques, et nettement moins cher que d’engager de vraies politiques sociales.

Le chômage officiel baisse ? Peut-être, mais tous ceux qui “sortent des radars” ne sont plus dans le compte. Ils vivent dans l’ombre, dans la précarité absolue… Et ils meurent en silence… Seuls...

RETRAITÉS : LES PROMESSES DORÉES QUI MÈNENT À CREVER MISÉRABLEMENT

Ah, la fameuse retraite helvétique ! On nous l’a vendue comme le Graal sécurisé : AVS + deuxième pilier, troisième pilier, rendements mirobolants, sécurité absolue… un véritable Disneyland pour seniors. Fabuleux, n’est-ce pas ?

Sauf que la réalité a un goût beaucoup plus amer. Après 45 ans de très dur labeur, plus de 60 % des retraités se retrouvent à crever misérablement, obligés de rationner leurs soins et de craindre chaque visite médicale de peur de ne pas pouvoir payer la franchise de leur assurance maladie, la plus chère du monde.

Pour garder un semblant de vie, certains se replient sur le sport gratuit des temps modernes : fouiller les poubelles pour améliorer leur quotidien. La promesse dorée d’une retraite paisible se transforme ainsi en mirage cruel, payé au prix fort par ceux qui ont cru à la fable helvétique.

La Suisse, pays du luxe et du perfectionnisme, devient un parc d’attractions pour criminels… et un cimetière déguisé pour ses honnêtes travailleurs fatigués, prochaine étape : « Soleil Vert » ??

LA JEUNESSE REGARDE AILLEURS CAR ELLE A COMPRIS !

Les jeunes ne partent pas par caprice, mais par lucidité.

Ils voient un monde qui avance à la vitesse de la lumière pendant que leur pays s’englue dans la lenteur, la peur et la morale.

Ils partent créer, oser, vivre… ailleurs.

Et quand un pays perd sa jeunesse, il ne perd pas seulement son avenir : il perd son âme.

CONCLUSION : LE PAYS QUI S’ENTERRE EN CROYANT S’ÉLEVER

  1. La Suisse s’enfonce doucement dans la torpeur de son confort passé.
  2. Elle se croit modèle, mais n’inspire plus personne.
  3. Elle se croit stable, mais ne tient debout que par habitude.
  4. Elle a exterminé sa classe moyenne, mais elle continue à chouchouter ses criminels.

Pendant que ses voisins et le reste du monde, inventent, bâtissent, osent, avancent, elle compte ses règlements, classe ses formulaires et fait voter 25 fois par an ses concitoyens qui croient avoir un pouvoir… Quelle illusion !

L’émigration record n’est pas une fuite : c’est un verdict.

Le pays qui fut jadis un symbole d’équilibre et de liberté creuse désormais sa propre tombe, à coups de taxes, de paperasse, de criminalité institutionnalisée, de manipulations et d’idéologie.

Bienvenue dans la Suisse moderne : propre, bien coiffée, et socialement lessivée

Les gens de valeur ne « fuient » pas la Suisse parce qu’elle est mauvaise. Ils fuient parce que la Suisse n’est plus faite pour eux.

Alain Farrugia


Tout savoir sur les Suisses de l’étranger en neuf graphiques

Au cours de la dernière décennie, environ 30’000 Suisses ont émigré en moyenne chaque année.

Fin 2024, 826’708 ressortissants et ressortissantes (soit 11% de la population suisse) vivaient hors des frontières de la Confédération, selon les derniers chiffres de l’Office fédéral de la statistique (OFS).

Ce nombre représente 80’000 personnes de plus qu’il y a dix ans, et une augmentation de plus de 320’000 personnes depuis 1993. Rien qu’entre 2023 et 2024, la diaspora s’est étoffée de plus de 13’000 personnes. Leurs effectifs ont augmenté, plus ou moins fortement, dans toutes les régions du monde à l’exception de l’Amérique latine, où ils sont restés stables.

Les expatriations n’expliquent qu’en partie cette évolution à la hausse. Les naissances d’enfants suisses à l’étranger, ainsi que les naturalisations, y contribuent également.



Près des deux tiers des Suisses de l’étranger vivent en Europe

64% des personnes expatriées vivent en Europe, principalement dans les pays voisins. Avec 212’100 personnes, la France abrite la plus grande communauté, suivie de l’Allemagne et de l’Italie.



Les jeunes adultes émigrent le plus

La classe d’âge des 20-35 ans est celle où l’on enregistre le plus d’émigrations de Suisses (un tiers du total).

Une deuxième vague s’observe ensuite chez les seniors: 20% de tous les départs à l’étranger sont le fait de personnes âgées de 55 à 69 ans.



La majorité des Suisses de l’étranger (55%) sont en âge de travailler.

Environ une personne expatriée sur cinq a moins de 18 ans, et près d’une sur quatre a 65 ans ou plus.

Ces dernières années, les seniors ont constitué le groupe qui a le plus grossi (+4% entre 2023 et 2024, après une augmentation similaire l’année précédente).



Les extrémités de la pyramide des âges

Parmi les pays accueillant d’importantes communautés suisses, la Thaïlande, le Portugal, l’Espagne et l’Afrique du Sud se démarquent avec une part importante de seniors. Alors que la moyenne d’âge de l’ensemble des Suisses de l’étranger s’établit à 43 ans, elle est de 55 ans en Thaïlande.

Entre 2023 et 2024, la part de seniors suisses a particulièrement augmenté au Portugal et en Thaïlande (respectivement +16% et +7%).

À l’inverse, Israël abrite la communauté de Suisses de l’étranger de très loin la plus jeune: près de la moitié des Suisses d’Israël sont mineurs et la moyenne d’âge de la diaspora y est de 27 ans.



Trois cantons concentrent la moitié des émigrants

Un coup d’œil sur les cantons de provenance des Suisses qui émigrent montre la prédominance de Zurich, Vaud et Genève.

Pris ensemble, ces trois cantons urbains et globalisés ont représenté près de la moitié de toutes les émigrations de Suisses enregistrées entre 2019 et 2023.



Trois quarts des Suisses de l’étranger possèdent, en plus de la nationalité suisse, un ou plusieurs autres passeports.

Mais cette part varie nettement selon le pays de résidence. C’est en Thaïlande que se trouve la part la plus importante de Suisses n’ayant aucune autre nationalité. À l’inverse, quasiment toute la diaspora suisse installée en Argentine est plurinationale.



Environ la moitié des Suisses qui ont émigré reviennent

La durée d’émigration tend aussi à être plus courte pour les personnes nées en Suisse: plus du tiers sont rentrées en Suisse dans les 3 ans suivant leur départ, contre moins d’un quart de celles nées à l’étranger.



L’appel du large plus fort que le mal du pays ? Les Suisses sont plus nombreux à quitter la Suisse qu'à s'y installer

Reste que, chaque année, les Suisses qui sautent le pas d’aller vivre à l’étranger sont plus nombreux que celles et ceux qui viennent (ou reviennent) s’installer dans la Confédération.

L’année 2020, marquée par la pandémie de Covid, a été la seule exception ces 30 dernières années. Mais depuis, les expatriations sont reparties à la hausse.

En 2023 (dernière année disponible), près de 31’000 ressortissants et ressortissantes ont quitté la Suisse, et environ 22’000 y ont immigré.



Sources :

https://www.blick.ch/fr/suisse/l-emigration-atteint-un-record-en-suisse-id21339476.html

https://www.24heures.ch/suisse-68000-departs-en-2024-emigration-record-177190196636

https://econostrum.info/suisse/suisse-face-a-un-exode-suisses-pays/

https://www.msn.com/fr-ch/actualite/other/la-suisse-face-%C3%A0-l-exode-plus-de-68-000-suisses-fuient-le-pays-en-2025-un-record-in%C3%A9dit/ar-AA1OP7Db?cvid=68f665ce52674aa1877832e5de2dbbdb&ocid=hpmsn

https://www.swissinfo.ch/fre/cinquieme-suisse/tout-savoir-sur-les-suisses-de-letranger-en-neuf-graphiques/87631265

https://www.20min.ch/fr/story/suisse-le-pays-continue-d-attirer-de-plus-en-plus-de-frontaliers-103446779