Le Marché Immobilier au Portugal
Pourquoi investir au Portugal ?
Pays dans la zone Euro Croissance économique et investissements étrangers en hausse
Pas besoin de permis de résidence
Coût de la vie beaucoup plus faible qu'en Suisse ou qu'en France et bien d'autres pays européens
- 73 biens immobiliers achetés par jour par des étrangers
- Prix de l'immobilier résidentiel : entre 3'000 et plus de 5'000 €/M2
- Droits de mutation : maximum 8%
- Taxe foncière annuelle : de 0,3 à 0,5% de la valeur du bien
- Statuts pour favoriser les investissements étrangers :
- RNH : pas d'impôt pour les retraités du privé pendant 10 ans, pas de droit de succession ni d'ISF
- Golden Visa : permis de résidence « Schengen » contre un investissement dans l'immobilier de 500 K €
- Les prix de l'immobilier ont chuté de 20 à 30% depuis 2008
- A Porto : de 1'200 à 1'700 €/M2.
- Porto ville de 400.000 habitants (et une zone urbaine de 1,4 millions d'habitants) qui accueille 4 millions de touristes par an.
Tourisme en plein essor à Lisbonne et à Porto
- Conscients du fait que les prix vont monter, les investisseurs sont de plus en plus nombreux à s'intéresser au Portugal
- 7'500 Français et plus de 700 Suisses se sont installés au Portugal en 2014. 3 fois plus en 2015
- Grâce à la Banque centrale européenne, les banques sont aujourd'hui en mesure de concéder des crédits hypothécaires aux acheteurs nationaux et internationaux
- En Algarve les prix ont augmenté de 8% en un an et de 10 à 20% en un an à Lisbonne
- 20 % des biens immobiliers au Portugal sont vendus à des étrangers
- En 2014, un logement sur quatre a été vendu à des étrangers, soit 23000 maisons et appartements, selon le bilan de l'Association des agents immobiliers du Portugal.
- Fin juin 2014, 2'420 «Golden Visa» ont été accordés à des citoyens extra-européens, dont 1'947 à des chinois, suivis des Brésiliens et Russes.
Pour un investissement total de 1,46 milliard d'euros, selon les chiffres des autorités portugaises.
Etude réalisée par Cristina de Brito, Marc Flandin et complétée par Alain Farrugia